quelques réflexions personnelles

lefermier a écrit:

(..) une foi j'avais commandé un ampli de guitarre il était heureux tout le week-end avec ça dans son bureau

Tu aurais pu lui prêter ta gratte !

Ia ora na Tom,

tom a écrit:

Connexion cathode (tube au centre) sur sa face externe et l'anode connecté sur sa face interne (tres important).

Dave Lawton préconise exactement le contraire : trou taraudé en bas de chaque tube, vis de connexion à l'intérieur du tube central et à l'extérieur du tube externe.

Mais c'est seulement pour convenance mécanique, afin que le tube central ne dépasse pas de l'autre (tubes de même longueur). Car électriquement, peu importe où on fait la connexion : le potentiel est le même partout à l'intérieur de chaque électrode métallique.

bonjour,

je suis désolé de l'attente, j'ai été quelque peu débordé ces derniers temps.
alors dans le dépôt blanc il y a bien du calcaire.

Pour les curieux même dans une eau distillée il est possible qu'il y est création de calcaire pendant l'électrolyse ou tout simplement avec le temps. En effet, l'eau absorbe du carbone sous forme de CO2 dans l'atmosphère et peut le stoquer sous forme de calcaire.

Pour la poudre marron, il semblerait d'après les maigres analyses effectuées que c'est du fer venant des tubes. même le meilleur des inox est attaquable surtout dans une électrolyse.

J'ai aussi une autre piste de recherches intéressante :
si au lieu de supprimer l'intensité, on supprimait le voltage. le bilan énergétique est le même. Pour cela j'ai remarqué qu'avec la création de bulle la résistance de la cellule augmente. En effet les bulles restent collées aux électrodes le temps d'être suffisamment grosse pour se détacher. Peut-être que la résonance acoustique des tubes pourrait faire décoller les bulles des leur création. De plus les tubes vibrants ferrait des zones de compressions et de décompressions dans la cellule cela pourrait faire étirer également les molécules d'eau.

A+
nicolas