Comment identifier le crakage de l'eau ?

Bonjour,

Peut-être que cette question est à poser.

Il est vrai que pour ce qui est de l'électrolyse, c'est déjà un craquage de l'eau puisque la molécule est cassée.

Mais réservons le terme "craquage" pour nos projets, style Meyer.

Une électrolyse est donc facilement repérable avec la formation de gaz sur les deux électrodes et rien au milieu (espace inter électrodes).

Normalement et si j'ai tout compris, si craquage style Meyer, les molécules devraient libérer le gaz sur tout le volume d'eau entre les électrodes.

Il aurait-il un moyen de valider à coup sûr si craquage ou non ?
Afin de savoir tout de suite si nous restons en électrolyse classique ou non.
Surtout qu'avec le faible écartement entre les deux plaques... cela n'est pas très facile.
Ou une autre méthode..

@++

Bonjour Alain,

Cela pourrait être décelé avec deux membranes très légèrement distantes.
Ces membranes existent, elles ne laissent passer que le courant.
Elles ont été développées pour séparer l'oxygène de l'hydrogène.

A+

Bonjour les amis,

Perso je ne sais pas trop vu que je n'ai pas pu y arriver :p
Je crois que cela doit former un brouillard de bulles au sommet, dans l'électrolyte.
Sinon il faut mesurer la consommation et production.
Avec 12V 10A on peut obtenir 1LPM si tout est bien fait, donc 120W par LPM.
Si on descend à 50W par LPM et bien on sera sur-unitaire je suppose

A+

Bonjour Christophe,

Avec tes propos 50W 10A pour 1 LPM, mais pourquoi pas?

Et même mieux 25W 10A toujours pour 1 LPM, cela est peut être faisable.

Nous savons qu'il faut 2.5V entre deux plaques pour de l'électrolyse classique.

Alors pourquoi ne pas réaliser une cellule uniquement avec deux plaques inox de taille suffisante pour produire 1 LPM, ou avec un peu de temps libre, je parle pour moi, changer le branchement des plaques de la dry cells Eco Booster. Brancher physiquement toutes les plaques à une alim 2.5V 10A.
Mais cela restera de l'électrolyse classique, donc pas ce que Alain recherche.

A+