Merci
J'ai testé avec divers transfos depuis du 12 et 24 volts continu puis haché et avec élévation de la tension pulsée et redressée
J'ai testé entre 5Hz et 75Khz (avec des transfo ferrite à partir de 20Khz) Beaucoup de temps perdu à bobiner des kg de fil de cuivre à la main et pour JAMAIS la moindre observation de résonance.
Je n'utilise pas de microcontroleurs pour mes générateurs, mais des bon vieux trigger de Schmitt 74C14 avec des diodes et des potentiomètres, ce qui me permet de changer la fréquence et la durée des impulsions à loisir. Simple is best!
Ensuite j'utilise soit des Mos soit des IGBT pour les courants forts dans les transfos.
je les attaquent à très basse impédance pour pouvoir grimper en fréquence sans qu'ils ne chauffent( DV/DT) car un Mos fait souvent 4 a 8000pF en capacité d'entrée et c'est destructif si l'on y prends garde des qu'on dépasse le kilohertz.
Et franchement, si cela me permet de REGULER le débit du gaz produit avec facilité , je n'ai JAMAIS observé d'entrée en résonance quelque soit l'entrefer et la bande de fréquence, la largeur des créneaux appliqués à des petites cellules d'essais utilisées.
Pour moi, la messe est dite. Hélas.
Un membre astucieux et tenace ici, avait testé avec un alternateur entrainé par un puissant moteur électrique a variateur, car nous pensions à une entrée en résonance grâce aux harmoniques des fréquences principales produites par un alternateur, il avait lui aussi produit beaucoup de gaz au point que son réservoir de cellule s'était opacifié sous l'effet de la pression car nous avions oublié de monter une soupape d'évacuation des gaz, ce que nous recherchions, c'est la résonance , pas la production de gaz , mais bon, cela n' a pas explosé heureusement.
Lui non plus, après bien des essais sérieux, n'a jamais observé ce que décrit S Meyer dans ses "brevets".
C'est à la suite de ses essais que j'ai construit un générateur multi fréquences à variation de durée d'impulsions et avec injection d'autres fréquences en même temps afin se simuler des harmoniques diverses pour en avoir le cœur net à l'aide d'une toute petite cellule dans un récipient de 20 cl et... RIEN non plus. Je maintenais le niveau de l'eau semblable afin d'être sur que ma mesure de production de gazéification soit constante dans la cellule immergée.
Car je pensais que la PRESSION rendant élastique les molécules de flotte, cela pouvait nuire à l'entrée en résonance prétendue par S Meyer. Mais bernique! JAMAIS vu d'entrée en résonance de quoi que ce soit.
Le simple courant continu donne autant de gazéification, mais on ne peut pas réguler la production de gaz tout simplement et cette production sous 10 ampères avec 24Volts soit 240 w consommés et du bicarbonate (une petite cuillère à soupe dans un demi litre d'eau) est inférieure a 13 Cl d'évaporation par heure. Et encore cela chauffe terrible donc il y a production de vapeur d'eau! Ce qui optimise généreusement ce résultat hélas!
Donc à la suite de tous ces essais... Très déçu par les affabulations de ce S.Meyer mais pas vaincu pour autant, j'ai mit ces projets de coté en mi 2008. Je suis plus tranquille à présent, je vais sans doute m'y remettre mais avec d'autres approches.
Un chimiste serait probablement plus utile dans ces tentatives. Une approche avec de l'alcool comme catalyseur serait à envisager peut être. Je ne sais.