Bonjour Christian,
- Citation :
- et des véhicules en seraient équipés.
Alors vois-tu, je ne pense pas être atteint de paranoïa chronique ni être adepte de la théorie du complot mais, en toute sincérité, je suis totalement persuadé du contraire.
Pour ce qui est de l'apport d'hydrogène dans le moteur il n'y a en effet aucune complexité, voire même, à priori, aucune recherche à effectuer.
Quoique ?
Quel est le cahier des charges (minimisé) ?
1/ Quelle méthode ?
Puisque la "méthode" Meyer n'est pas encore trouvée, c'est donc l'électrolyse classique, qui obéit à la loi de Faraday (0,627L/h/A).
2/ Quelle production minimale est nécessaire ?
Nous n'en savons fichtrement rien. Nous supposons, ou prenons en compte ce que nous disent ceux qui ont "réussi", qu'il faille un minimum de 1L/mm.
3/ Quel courant max pouvons-nous consommer ?
Comme utilisé dans un véhicule, et comme l'ensemble batterie/alternateur ne peut pas produire un courant infini, nous essayons 12/15A avec un max de 20A.
Voilà, c'est donc très simple. il nous faut simplement un réacteur (ensemble de cellules) qui fournisse 1L/mm environ sous 12/15A environ.
Et des kits à hydrogène, comme tu dis, sont déjà commercialisés.
Fonctionnent-t-ils ?
Pas de réels retours sauf les témoignages publiés sur le site commercial.
Et lorsque cela ne fonctionne pas, cela ne veut pas dire que ce soit la Dry Cell qui soit en cause puisque maintenant (Ouf pour le vendeur) il y a cette fichue sonde lambda qui vient tout perturber. Le kit n'est donc pas mis en cause.
Mais qui, à réception de son kit, a eu la curiosité (courage ?) de mesurer réellement la production de gaz ?
Je n'en connais qu'un : Christophe (Edenguard40) ! Et malheureusement le résultat n'est pas au rendez-vous :
Attendu (acheté) : 2L/mm pour 25A
Réel : 0,8L/mm pour 20A
Mais nous aussi avons du mal (Francis et moi).
Pas pour faire simplement une petite électrolyse classique ou concevoir un beau produit qui serait uniquement un ensemble de plaques bien boulonnées et puis basta, non, mais tout simplement pour tenter de s'approcher le plus possible du cahier des charges.
Donc tout ça pour te dire qu'en effet, dès le début, il n'y avait aucune complexité dans la chose, ni même à envisager une quelconque "recherche".
Mais la mise en pratique, le seul vrai test, le reste n'étant que du verbiage, a du nous faire changer d'avis.
Il peut y avoir bien sûr une autre explication : nous ne sommes pas suffisamment bons (et ce qui n'est pas forcément à exclure !).
@++